Le weekend passé, j’ai eu le plaisir de treuiller Samuel et Jimmy avec le dévidoir. Un grand merci à Samuel qui a attendu un certain temps pour finalement être mon premier cobaye humain vivant au dévidoir.
Tiens au fait ? ne dit on pas dévider au lieu de treuiller. Il faudra que je pose la question la prochaine fois. Essayons quand même :
– « Ce weekend, j’ai dévidé Samuel et Jimmy ! »
Non, ça ne doit pas se dire… On dirait que je viens d’vider l’cochon.
En tout cas un grand merci à Jean-Yves C. et Bernard B. pour leurs instructions et conseils quant à l’usage du dévidoir. Le comportement est nettement plus souple qu’avec un treuil fixe.
Le plus difficile, après la mise en forme de la voile par le pilote, c’est la prise en charge initiale, il faut toujours autant de finesse qu’avec un treuil fixe. Ça ne change pas de ce point de vue. Côté pilote, comme du côté du treuilleur, c’est plus confortable. Le treuilleur ne prend en charge que si le pilote est bien placé sous sa voile.
Une fois le pilote en l’air si tout ce passe convenablement, il ne reste plus qu’a travailler avec 4 paramètres :
- la pression au manomètre qui indique la force exercée sur le frein de la bobine.
- la vitesse de déroulement de la bobine.
- la vitesse du véhicule.
- le plan de monté de la voile et du pilote.
Si par contre quelque chose ne se passe pas comme prévue, le fait de rendre la main en libérant la pression sur le frein de la bobine de câble permet de résoudre certains petits problèmes. De plus, le dévidoir est équipé d’une guillotine qui permet de couper le câble reliant le véhicule au pilote. Chose que je n’ai pas encore pu essayer.
A+ pour d’autres treuillés
Voilà une bonne approche pour le dévidoir!
Et bravo pour ton initiative! cela doit faire exemple pour d’autres futur treuilleurs !…
Et cela facilitera les rotations pour tous!…
Bravo Thierry. La synthèse technique est excellente. Tu peux dire « dévider » mais …
Belle progression